- 4ème de couverture :
Depuis l’enfance, Iris a une passion pour la couture. Dessiner des modèles, leur donner vie par la magie du fil et de l’aiguille, voilà ce qui la rend heureuse. Mais ses parents n’ont toujours vu dans ses ambitions qu’un caprice : les chiffons, ce n’est pas « convenable ». Et Iris, la mort dans l’âme, s’est résignée.
Aujourd’hui, la jeune femme étouffe dans son carcan de province, son mari la délaisse, sa vie semble s’être arrêtée. Mais une révélation va pousser Iris à reprendre en main son destin. Dans le tourbillon de Paris, elle va courir le risque de s’ouvrir au monde et faire la rencontre de Marthe, égérie et mentor, troublante et autoritaire…
- Mon avis :
– Ce que j’ai aimé :
Paris. en toile de fond. J’aimé me balader le long des ruelles de l’ile Saint Louis. Bon ce n’est pas un guide touristique non plus mais comme c’est un quartier que je connais, l’imaginaire prend très vite le relais et Paris revient comme si je ne l’avais jamais quitté. Cela ne fait que 4ans que j’en suis partie.
– Ce que j’ai moins aimé :
L’histoire est belle mais reste convenue. Une fille qui se fait larguer par son goujat de petit ami – qui en a mis une autre enceinte – et qui, esseulée parcourt les rues du vieux Paris centre sous une pluie diluvienne, se fait poursuivre par…(vous le découvrirez vous-même !) et rentre dans une vieille librairie pour s’y cacher. Mais au hasard de ses errements dans les rayons elle tombe sur un livre qui parle, comme par le plus pur des hasards, de son restaurant et se reconnaît aussi comme la protagoniste du livre. Voici le début de l’histoire.
Avouez que même si le hasard fait souvent bien les choses, cette demoiselle a une vraie « chance de cocu ». C’est normal, me direz-vous (vu qu’elle vient de se faire larguer) ?!
Ben non. Quand je lis des histoires comme celles-là, j’ai envie d’y croire vraiment. Il faut que les histoires soient réalistes. Mais celle-là, j’ai eu du mal à y croire même ça reste une belle histoire. Un bon moment de lecture.
- Une citation :
» Le bonheur et le malheur vont souvent de pair. Pour le formuler autrement, on pourrait dire que le bonheur prend de temps en temps de curieux détours. »