_ Suits: Avocats sur mesure _ : Mes 5 raisons d’aimer cette série.

Découverte sur Netflix tout à fait par hasard, Suits, Avocats sur mesure est une série américaine créée par Aaron Korsh et diffusée depuis 2011 sur la chaine USA Network. Comme son nom l’indique, elle a pour contexte un cabinet d’avocats d’affaires new-yorkais, Pearson Hardman. Bien qu’évoluant dans les mêmes sphères, je trouve cette série beaucoup moins guindée que the Good Wife que j’ai pourtant beaucoup aimé à l’époque. C’est dire ! J’en étais même restée à Ally MacBeal !!!! qui s’en souvient ?

• Le synopsis: 

Harvey Specter est l’avocat le plus réputé du cabinet Pearson Hardman et connu dans tout Manhattan pour être malin, égocentrique et dragueur. Jessica Pearson, son manager, décide de le promouvoir senior et l’oblige à recruter un nouvel assistant. Harvey fait alors la rencontre de Mike Ross, un petit génie doté de facultés d’assimilation impressionnantes, mais sans aucun diplôme de droit. Harvey décide de l’embaucher en faisant croire à tous qu’il sort de la prestigieuse école Harvard.

• Mes 5 raisons : 

1) Les deux protagonistes Mike Ross ( Patrick J. Adams ) et Harvey Specter ( Gabriel Macht ) sont inconnus du petit écran et, ça fait du bien de voir de nouvelles têtes car de plus en plus d’acteurs passent de série en série et quand on les connait (et apprécie) dans un rôle, on a beaucoup de mal à les voir évoluer dans un autre rôle. Et, pour ne rien gâcher, ils sont en plus très beaux, chacun dans son style. Seuls deux acteurs de la série sont un poil plus connus pour les avoir déjà aperçus en second rôle dans d’autres séries: Louis Litt (Rick Hoffman) et Jessica Pearson (Gina Torres, beaucoup moins célèbre que son époux Mr Laurence Fishburne)

       

2) La série se passe dans le monde judiciaire.

Et parce que j’aurai adoré dans une autre vie être avocate. J’aime et j’aimerai toujours le droit mais en fac de Droit, j’ai privilégié certaines matières au détriment d’autres… pour finalement choisir une autre voie. Un petit regret. Dans cette série, j’adore l’envers du décor: les travaux de recherches et la résolution des affaires en dénichant les moindres failles du système judiciaire.

3) Les dialogues et les discours sont … forts à propos et caustiques à souhait 

ah aha aha. Et j’aime assez. Harvey Specter is clearly a really Bad Ass Mother Fucker. Oups. pas de sous-titre; j’ai dit un gros mot ! He’s my man !

4) New York:

la série se passe à Manhattan, New York et rien que pour cela, cette série vaut le detour car les vues sont magnifiques (tout du moins dans le pilote) car le reste de la série a été tourné à Toronto (sic). Et pour moi qui rêve de découvrir la Grosse Pomme (après la Nouvelle-Orleans, par ordre chronologique d’un road-trip américain), c’est un avant-goût très alléchant. Rooftop, vue sur la Skyline, doorman et design ultra-moderne: n’oublions pas que Harvey Specter est senior Partner dans un cabinet d’avocats d’affaires, alors l’argent n’est pas un problème (tout comme le prix de ses costumes, d’ailleurs!) 5) Une garde-robe à tomber raide: Bon! l’argument est plus que superficiel, je vous l’accorde, mais là, la dingue de fringues que je suis ne peut pas passer sous silence la classe supratomique (oui…j’invente des adjectifs lorsque mon Larousse me laisse à sec de superlatifs)  des acteurs de cette série.

Aussi parce que les costumes 3 pièces de Harvey Specter , tellement bien portés sont dessinés par Tom Ford et remisent au placard les costumes du dimanche de Papi Dédé.

D’ailleurs, les filles ne sont pas en reste, insérées dans de magnifiques jupes crayon ou dans des robes moulantes à damner un saint désolée pour le blasphème et toutes perchées à 12cm du sol au moins sur des Louboutin sous toutes couture. Bave…puis énormes soupirs. Bref, cette série évolue dans une élégance folle que je n’ai retrouvée que dans « Madmen »… même si c’était dans les années 50. Harvey Specter a d’ailleurs, selon moi, tout d’un Don Draper.   

Et vous? Connaissez-vous cette série ?

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